24 décembre Iran Nouveaux affrontements contre la dictature
Les iranien(nes) l’avaient annoncés ils ne laisseraient pas de répit au régime a l’approche des fêtes de l’Achoura
le sanguinaire adjoint et numéro deux de la police iranienne Ahmad Reza Radan, avait de nouveau faits ses menaces de mort habituelles contre les manifestants sur les radios et les télévisions du régime « Les forces de l'ordre agiront avec sévérité et sans aucune pitié contre tout "rassemblement illégal" lors de Tassoua et Achoura, (qui sont deux importants jours de deuil chiite) avait-il de nouveau déclaré
Récapitulatif et résumé des derniers évenements des ces derniéres heures
Protestation dans les rues de Téhéran ce 24 décembre 2009
Selon le site Rowzane
http://www.rowzane.com/0000-2009/e-m12/24-xabar.htm
Une manif sauvage plus de 2.000 personnes se sont rassemblées sur la Place Toopkhaneh à Téhéran et ont commencé à manifester aux cris de “mort à Khamenei !”, “mort au dictateur” et “libérez les prisonniers politiques”. De larges forces répressives, dont la police anti-émeute les voltigeurs motocyclistes et des agents en civil bassidj’is sont arrivées sur place. A 15 heures (heure française), on signait des affrontements violents entre le peuple et les forces répressives du régime
Derniéres vidéos qui viennent de parvenir
http://www.youtube.com/watch?v=zXj6pJ_-a18
http://www.youtube.com/watch?v=aXPc2M8Acr4
Depuis hier soir les fameuses manifs des toits on de nouveaux éclatées dans Téheran mais aussi dans tout le pays les gens sont de nouveaux montés sur les toit Protestation nocturne à Téhéran le 23 novembre
A téhéran on a pu entendre de nouveaux slogans tels que:
“Vive l’ennemi de l’ensemble du système du grand leader !”
“Les viols en prison, est-ce dans l’Islam ?”
http://www.youtube.com/watch?v=aN1syay80vU
Protestations également le 23 déc dans les facs de téhéran
http://www.youtube.com/watch?v=KJArmkFASmM
Notre fac n’est pas une caserne scandent les manifestant(es)
http://www.youtube.com/watch?v=qN3Ac2AlRzs
http://www.youtube.com/watch?v=krwsvi4WYg4
Affrontements violent entre la police le peuple et manifestants à Ispahan et Najafabad
http://www.youtube.com/watch?v=Ky4-QlzX7No
Opposants et policiers se sont affrontés à Ispahan et Najafabad (centre), où se tenaient des cérémonies à la mémoire de l’ayatollah dissident Montazeri. Selon un site d’opposition, une cinquantaine de manifestants ont été arrêtés. Des affrontements entre forces de sécurité et partisans de l’opposition ont éclaté mercredi à Ispahan et à Najafabad, dans le centre de l’Iran, rapportent des sites internet de la résistance et du peuple
Ces incidents surviennent deux jours après les manifestations qui ont marqué les funérailles du grand ayatollah Hossein Ali Montazeri, l’une des personnalités religieuses les plus critiques à l’égard du pouvoir actuel. Les journalistes étrangers ne pouvant couvrir les manifestations, il est difficile d’évaluer l’ampleur de la contestation et sa capacité à durer.
Un nouvel épisode du bras de fer entre les autorités et les opposants pourrait avoir lieu ce dimanche prochain à l’occasion de l’Achoura, une grande fête religieuse chiite qui coïncidera avec le septième jour de deuil de la mort de Montazeri. Le chef de la police iranienne a prévenu mercredi que les partisans de l’opposition seraient sévèrement réprimés par les forces de sécurité s’ils poursuivaient leurs manifestations dans le pays, rapporte l’agence semi-officielle Fars.
“Nous conseillons à ce mouvement de mettre fin à ses activités. Sinon, ceux qui enfreignent l’ordre seront sévèrement réprimés, conformément à la loi”, a déclaré le chef de la police Esmail Ahmadi-Moghadam, cité par Fars. Pour Ali Ansari, professeur à l’université de St Andrews en Ecosse et spécialiste de l’Iran, la situation ne peut qu’empirer. “Cela va être de plus en plus chaotique.
On peut parler de voeu pieux quand certains affirment qu’il ne se passera rien ou qu’il va y avoir une sorte de ‘révolution de velours’. Cela va devenir très violent”, pronostique-t-il.
-dans la ville de Arak ce sont les femmes d’ouvriers qui sont descendues dans les rues et qui on pris l’initiative de le faire
Dans un communiqué intitulé « Vive les femmes d’ouvriers des industries d’Arak ! » et daté du 23 décembre, le Parti Communiste-Ouvrier d’Iran indique qu’une cinquantaine de femmes de travailleurs de l’industrie d’Arak se sont rassemblées lors de la réunion du Conseil Administratif de la Province. Ces femmes exigeaient que les salaires de leurs maris soient payés et dénonçaient les licenciements.
Les 250 ouvriers de l’usine ne sont en effet pas payés depuis cinq mois et plusieurs centaines de travailleurs ont été licenciés. Saluant ces femmes et rappelant que les femmes d’ouvriers souffrent tout autant que leurs maris des fermetures d’usines, des licenciements et des salaires impayés, et qu’elles doivent avoir toute leur place dans les luttes et prises de décision des assemblées de travailleurs et de chômeurs, le PCOI considère que c’est là un exemple à suivre pour rassembler dans les zones industrielles et les villes tous les adultes des familles de travailleurs pour un mouvement d’ensemble de la classe ouvrière contre les capitalistes et le gouvernement islamique
-A shiraz les ouvriers des télécommunications sont toujours en grève Les travailleurs des télécommunications de Chiraz continuent leur lutte pour le paiement de plusieurs mois de salaires impayés. Après une manifestation le 17 décembre, ces travailleurs ont profité de la venue d’Ahmadinejad à Chiraz le mardi 22 décembre pour réclamer une nouvelle fois le paiement de leurs salaires.
Cette fin de semaine s’annonce donc de nouveau très agitée et ce ne sont ni les menaces de Khamenei et de Ahmadinejad, ni celles de leurs chefs de police et des criminels contre l’ humanité des pasdarans, de la vevak et des bassidj’is qui feront plier le peuple Iranien , que le régime se le dise il ne pourra jamais revenir en arriére !!! Solidarité Internationale avec la lutte du peuple Iranien
Iranfrihed.dk: Freiheit für alle Börsenspekulanten!
Die Freiheit, die Ihr orange und grünkapitalistischen Gruppen meint, ist nicht meine Freiheit.